Séismes en TURQUIE 6/02/2023

Interview d’Erkan AYDAR , professeur turc de volcanologie en détachement au LMV, sur le séisme à FR3 Auvergne (00:2:13) https://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne-rhone-alpes/programmes/france-3_auvergne-rhone-alpes_jt-12-13-auvergne Le séisme en Turquie et en Syrie « surprenant » par son intensité et celle de sa réplique Le sismologue Martin Vallée explique les mécanismes à l’oeuvre dans les tremblements de terre qui ont provoqué

Professeur Erkan AYDAR

Erkan AYDAR, Volcanologue, Professeur des universités à l’Université Hacettepe, Ankara (Turquie). Il est accueilli au sein de notre laboratoire pour une durée initiale de 7 mois (possiblement reconductible), à compter du 1er septembre 2022, grâce à l’obtention d’une bourse de recherche de Tübitak (CNRS turc), dans le cadre d’une convention d’accueil avec l’Université Clermont Auvergne.

Nature et vulgarisation

  Un mécanisme de glissement de flanc de volcan inédit révélé par l’imagerie satellitaire Les dépôts d’avalanche de débris au large des îles volcaniques témoignent de glissements de flancs récurrents. Comprendre l’origine des déstabilisations de flanc des volcans est un enjeu majeur, puisque les tsunamis et séismes qu’elles engendrent sont responsables de 24 % des

République Démocratique du Congo: le volcan NYIRAGONGO

RDC: le Nyiragongo, un volcan fascinant et dangereux Publié le : 02/06/2021 – 12:21Modifié le : 02/06/2021 – 12:55 https://www.rfi.fr/fr/afrique/20210602-rdc-le-nyiragongo-un-volcan-fascinant-et-dangereux Des bulles de gaz crèvent la surface du lac de lave du Nyiragongo, en RDC. Juin 2010. © Archives personnelles – Olivier Grunewald Texte par : Edmond Sadaka Il est à l’origine, depuis une dizaine

Mission géophysique au Piton de la Fournaise du 19/11 au 05/12/2020

Mission géophysique  au Piton de la Fournaise du 19/11 au 05/12/2020 Dans le cadre des missions d’observations du SNOV, des projets Labex « Imagerie géophysique 4D des structures magmatiques et hydrothermales, évolution des hétérogénéités mécaniques » (LMV), « Volcadrone » (CNES-OPGC), une équipe OPGC-LMV (Lydie Gailler, Philippe Labazuy, Edouard Régis), en collaboration avec l’OVPF, a

Iron sulfide may be keeping Mercury’s core toasty and its alive magnetic field

NASA’s MESSENGER spacecraft has detected magnetic signals in Mercury’s surface rocks, and even stronger ones in lower orbit. Red and orange in this image represent the direction of the field lines pointing off-planet, while blue and purple lines point inward. NASA’s Scientific Visualization Studio By Lisa Grossman September 3, 2019 at 12:37 pm Mercury’s core

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